L’avis transmis le 26 février « Outre-Mer : Nouveaux enjeux à l’heure des variants », propose trois scénarios concernant la vaccination allant de stratégies indifférenciées par rapport à la métropole à des stratégies ciblées en fonction de la situation épidémiologique des territoires ou de stratégies accélérées en raison de la diffusion des variants sur certains territoires.

Le second avis, daté du 11 mars « Anticiper et différencier les stratégies pour sortir des phases aigues de l’épidémie », dresse un bilan de la situation de l’infection à date et des avancées scientifiques acquises depuis un an. Plusieurs scénarios de gestion de l’épidémie à court et moyen terme sont analysés. Compte tenu de la dynamique de l’épidémie dans notre pays, de l’hétérogénéité de la présence du variant « britannique » et donc de la circulation différenciée du virus et de ses conséquences sur le système de soins de certains territoires, le Conseil scientifique plaide pour une réponse régionalisée, ajustée er ciblée aux différents contextes. Le conseil scientifique insiste également sur la notion essentielle d’anticipation qui pourra permettre de proposer en amont et le plus rapidement possible les mesures adaptées.